On trouvera dans le numéro 3 un message codé encore non déchiffré à ce jour. Ce numéro s’ouvre sur un poème de Louise Michel et se clôt sur un énigmatique poème d’anagrammes de Guillaume Rannou. Entre les deux un texte d’humeur sur l’université écrit pendant la grève de Paris 8 de 2016, une pièce de théâtre, des traductions inédites de Marta Traba, critique d’art colombienne, la suite de la traduction tant attendue du livre de Fredric Jameson sur Brecht, dont la revue distille les chapitres de l’introduction avec modération, enfin un poème qui parle de ce que c’est que parler depuis aujourd’hui et un texte inédit en français de l’écrivain Joseph Mitchell. Rétrospectivement ce numéro (3) est un des plus réussis.
à quoi bon encore l’université ? un texte d’humeur
Antonia Birnbaum
les vagabondes
Alain Béhar
faire des listes – théâtre et histoire
Diane Scott
l’art latino-américain n’existe (toujours) pas
Annabela Tournon
+
états-unis versus amérique latine
Marta Traba, traduit par Annabela Tournon
+
à la recherche du signe perdu
Marta Traba, traduit par Annabela Tournon
la méthode sans maître, ou comment cuisiner les abstractions
Florent Lahache
+
trianguler brecht
Fredric Jameson, 3è chapitre de brecht and method, traduit par Florent Lahache
poésie classe moyenne
Gilles Amalvi
au haut du vieil hôtel
Joseph Mitchell, traduit par François Tizon
et un petit cahier de jeux disséminé