Auteurs / Amalvi Gilles

Gilles Amalvi est critique et poète. Il publie dans Revue Incise 2 et 3 les quatre parties de Poésie classe moyenne. Pour Revue Incise 4, il écrit un essai qui historicise le texte de Thomas Pynchon traduit par Bénédicte Chrorier-Fryd : C’est possible d’être luddite, ou quoi ? (Is It O.K. to Be a Luddite? publié dans le New York Times en 1984).

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  • Revue Incise 3 : Gilles Amalvi, « Poésie classe moyenne »

    Présentant Angelus Novus, la revue qu’il projetait de faire, Walter Benjamin écrit : « La véritable destination d’une revue est de témoigner de l’esprit de son époque. » C’est une phrase étrange qui semble adresser la revue à un au-delà d’elle-même, comme s’il fallait travailler à donner quelque chose dont la vocation est de nous échapper. Cette idée…

  • Revue Incise 4 : sommaire

    Des traductions inédites de Walter Benjamin, César H. Espinosa, Johann Peter Hebel, Thomas Pynchon, Bernd Stegemann / Une réflexion sur les pots de première / Un récit de lutte autour d’une chapelle dans Paris / Une critique de Moi, Corinne Dadat / Un essai sur nos catégories historiques / Deux poèmes / Et des jeux

  • Revue Incise 3 : sommaire

    On trouvera dans le numéro 3 un message codé encore non déchiffré à ce jour. Ce numéro s’ouvre sur un poème de Louise Michel et se clôt sur un énigmatique poème d’anagrammes de Guillaume Rannou. Entre les deux un texte d’humeur sur l’université écrit pendant la grève de Paris 8 de 2016, une pièce de théâtre, des traductions inédites de Marta Traba, critique d’art colombienne, la suite de la traduction tant attendue du livre de Fredric Jameson sur Brecht, dont la revue distille les chapitres de l’introduction avec modération, enfin un poème qui parle de ce que c’est que parler depuis aujourd’hui et un texte inédit en français de l’écrivain Joseph Mitchell. Rétrospectivement ce numéro (3) est un des plus réussis.

  • Revue Incise 3 : extraits

    On trouvera dans le numéro 3 un message codé encore non déchiffré à ce jour. Ce numéro s’ouvre sur un poème de Louise Michel et se clôt sur un énigmatique poème d’anagrammes de Guillaume Rannou. Entre les deux un texte d’humeur sur l’université écrit pendant la grève de Paris 8 de 2016, une pièce de théâtre, des traductions inédites de Marta Traba, critique d’art colombienne, la suite de la traduction tant attendue du livre de Fredric Jameson sur Brecht, dont la revue distille les chapitres de l’introduction avec modération, enfin un poème qui parle de ce que c’est que parler depuis aujourd’hui et un texte inédit en français de l’écrivain Joseph Mitchell. Rétrospectivement ce numéro (3) est un des plus réussis.