Auteurs / Tournon Annabela
Annabela Tournon est curatrice, éditrice et historienne de l’art. Pour Revue Incise 3, elle présente et traduit Marta Traba, critique et historienne de l’art argentine. Dans Revue Incise 4, elle traduit de César H. Espinosa, critique, syndicaliste et artiste mexicain, un article de presse sur la rue, la couleur et la politique.
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Revue Incise 4 : César H. Espinosa, « Esthétique et répression, rompre le cercle »
César Espinosa est un critique, syndicaliste et artiste mexicain qui a conduit un travail d’écriture journalistique et poétique pendant trois décennies. À l’intersection de l’art conceptuel et du militantisme, ses articles livrent une chronique des menues actions et réflexions des artistes dont le projet fut de prendre la rue. Annabela Tournon, curatrice, éditrice et historienne de l’art, présente cette année une exposition au Mexique et en France sur le groupe Mira, dont la trajectoire coïncide avec les années 1970, leurs fulgurances et leur potentiel d’insistance. Elle a traduit cet article de presse d’Espinosa sur la rue, la couleur et la politique.
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Revue Incise 3 : sommaire
On trouvera dans le numéro 3 un message codé encore non déchiffré à ce jour. Ce numéro s’ouvre sur un poème de Louise Michel et se clôt sur un énigmatique poème d’anagrammes de Guillaume Rannou. Entre les deux un texte d’humeur sur l’université écrit pendant la grève de Paris 8 de 2016, une pièce de théâtre, des traductions inédites de Marta Traba, critique d’art colombienne, la suite de la traduction tant attendue du livre de Fredric Jameson sur Brecht, dont la revue distille les chapitres de l’introduction avec modération, enfin un poème qui parle de ce que c’est que parler depuis aujourd’hui et un texte inédit en français de l’écrivain Joseph Mitchell. Rétrospectivement ce numéro (3) est un des plus réussis.
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Revue Incise 3 : extraits
On trouvera dans le numéro 3 un message codé encore non déchiffré à ce jour. Ce numéro s’ouvre sur un poème de Louise Michel et se clôt sur un énigmatique poème d’anagrammes de Guillaume Rannou. Entre les deux un texte d’humeur sur l’université écrit pendant la grève de Paris 8 de 2016, une pièce de théâtre, des traductions inédites de Marta Traba, critique d’art colombienne, la suite de la traduction tant attendue du livre de Fredric Jameson sur Brecht, dont la revue distille les chapitres de l’introduction avec modération, enfin un poème qui parle de ce que c’est que parler depuis aujourd’hui et un texte inédit en français de l’écrivain Joseph Mitchell. Rétrospectivement ce numéro (3) est un des plus réussis.